Les neurosciences affectives sont tombées au mauvais moment !

Les découvertes des neurosciences affectives commencent à dater, mais j’ai l’impression que l’essor de ces découvertes et toutes les ‘nouvelles’ recommandations dans l’accompagnement de l’enfant tombent sur ma génération ! Ce n’est qu’une impression peut-être ?

Sauf que je fais officiellement partie des générations qui ont vécu tout ce qu’il ne fallait pas vivre apparemment quand ils étaient enfants ! (Oui, j’exagère un peu…) Mais ceci veut dire que théoriquement, nous avons déjà perdu un certain nombre de nos neurones utiles (et la régénération prend un peu de temps quand même), nous avons aussi perdu une partie de notre empathie et nous avons une amygdale responsable du stress un peu trop surexcitée ! Dommage ! Ces 3 éléments devaient nous permettre d’être ‘bienveillants’ avec nos enfants ! Donc concrètement ça va être compliqué de mettre en pratique toutes les nouvelles recommandations de la neuroscience sur une seule génération.

Néanmoins, je trouve que nous avons un rôle très important dans cette transition et aussi une opportunité en or !

Ça tombe mal

Le rôle important

apporter certes toute la bienveillance et le ‘bon’ accompagnement que l’on va pouvoir apporter à nos enfants, mais nous allons surtout les préparer à continuer le chemin sans avoir à recommencer à zéro et les équiper pour qu’ils puissent s’autoréparer au fur et à mesure sans avoir à attendre leurs 30 ans, à attendre un évènement bouleversant ou encore l’arrivée de leurs enfants qui vont leurs renvoyer brutalement et en pleine figure toutes les pistes de réparation ! L’image que j’aime utiliser pour résumer les quelques dernières lignes est la suivante : Qu’est-ce que nous allons leurs mettre dans leurs sacs à dos ?

L’autre rôle primordial et ultra-efficace, mais pas évident non plus, c’est de donner beaucoup d’amour à nos enfants et de veiller à ce que nos relations avec eux baignent dans de hautes  vibrations d’amour et de gratitude !

L’opportunité

Et bien le fait de considérer plus nos enfants dans leurs émotions, dans leur vécu, de les impliquer plus dans les choix etc est certes plus confrontant pour nous, mais ça nous confronte à nos petites (ou grandes) blessures qui trainent, nos petits traumas et tous ces résidus qui nous empêchent de vivre pleinement notre vie ! Une sacrée génération ! L’image que j’aime utiliser pour résumer les quelques dernières lignes est la suivante : Nos enfants, c’est comme des catalyseurs ! Ils accélèrent notre évolution en conscience dans la vie, même si c’est parfois trop rapide pour nous, c’est brutal et que ça nous dépasse !

Ça tombe malCes prises de conscience ne font que me confirmer que ma quête au quotidien n’est pas d’être le parent recommandé par la société, mais le parent que moi, je souhaite être à tout instant de ma vie ! C’est cette version de parent qui sera parfaite pour mon enfant ! Et dire que le parent parfait n’existe pas ! C’est le parent parfait pour notre enfant qui compte ! Et non pas le parent parfait tout court ! Le parent parfait avec les erreurs parfaites qu’il peut faire avec ses enfants ! Plus ce parent est aligné

C’est une quête que je laisse maturer depuis un moment et aujourd’hui  je te propose qu’on la vive ensemble à travers mon tout dernier service ! le programme « Le parent que je veux être ». Si tu es prêt(e), tu te reconnaitras !